Autobiographie de Melchior, sa vie, son oeuvre, les erreurs de ses parents, de ses semblables et sa gloire immortelle que renforce une modestie hors du commun

Note de l'auteur:voici une présentation simplifié pour toi, lectrice, afin que mes nombreuses symphonies t'apparaissent non seulement comme des oeuvres merveilleuses mais en plus comme un témoignage d'une vie fantastique et aventureuse.Si tu es un lecteur, jalouse moi, travaille beaucoup en suivant mon exemple et peut être que tu arrivera à me ressembler un peu.

Né dans le duché d'Elkator, le comte Melchior, troisième d'une famille de douze enfants, n'eut pas la chance de son ainé d'avoir une part de l'héritage terrestre de la famille.Mais il bénéficia d'une éducation classique, et il excellait dans la musique, la poésie, la réthorique et les conversations galantes, particulièrement dans les greniers des environs.

Pour ce qui est des arts de la guerre, la stratégie lui était totalement hermétique, la pratique de l'arbalète lui paraissait faite pour les rustres, il trouvait la claymore bonne pour les barbares, la hache pour les paysans et le tir au pistolet écorchait ses oreilles délicates.Cependant il eut de bonnes bases d'escrime et savait se servir d'un fleuret.

Cet être exceptionnel semblait plus destiné à un destin de fastes dans des palais qu'à se crotter dans des champs de bataille parmi les manants ou même (disgrâce suprême !) à travailler.Dès son adolescence il eut à coeur d'agrandir les familles de la région et oeuvra en ce sens auprès des paysannes, des servantes et des villageoises aux alentours, pourvu que la belle fut accorte.Cet effort louable ne fut pas du goût de son père qui l'envoya dans la grande ville la plus proche après que Melchior eut permis au Baron de Vriinar d'avoir un enfant .Tout le monde s'accorda sur le fait que le fils du baron était intelligent et vif et qu'il était merveilleux pour le comte d'avoir enfin un beau fils, même s'il ne lui ressemblait pas.

Les plus grands mérites sont certainement les moins reconnus, voilà ce que se dit Melchior qui a pris le chemin de la capitale, en quête d'un éditeur avisé pour ses oeuvres poétiques, musicales et littéraires (toutes plus révolutionnaires et géniales les unes que les autres) ou d'une riche et belle protectrice.En tout cas il est sûr qu'il va à la rencontre d'un destin à sa mesure :exceptionnel.

Par la barbe de Muradin quel formidable personnage!!
Je crains fort qu'il ne se casse en deux si je lui sert la main, mais j'aimerais beaucoup le rencontrer. J'espère que nos chemins se croiseront et je te montrerais que même avec une hache dans la main et une chopine dans l'autre, nous aussi les nains avons un grand sens de l'art tel que la forge ou le chant. Je te montrerais quel formidable effet produit une centaines de fiers guerriers barbus chantant les chants des temps anciens au fin fonds des mines ou le son résonne et impressionne encore plus que dans les plus grandes cathédrales humaines. Et si tu te montre aimable financièrement, je pourrais même t'offrir les plus belles armures ornés de pierres précieuses tel que tu n'en a jamais vus!!
Gudrun, un nain qui vous veut du bien

Encore un beau background^^Avec même, en prime, une quête personnelle^^Très bon pour le MJ ça^^Va falloir que je construise une scénario en pleine capitale...pas pratique mais ça peut être amusant les petites ruelles sombres (rire sadique)